CONTRIBUTION (SIWEL) — Dans cette contribution, l’auteur revient sur le cas d’un maire de Souama qui serait, apprend-t-on, mêlé à un scandale d’ordre financier.

 

À l’approche des élections municipales, les maires entament un parcours contre la montre pour ramasser le plus d’argent avant le départ.
Et dans cette course effrénée, certains ne reculent devant rien, absolument rien et même pas devant l’ignoble.

C’est ainsi que le maire de Souama, encore lui, ne s’est pas offusqué à la demande d’un de ses affidés de retarder la délivrance de l’acte de décès de son père, le temps de vider ses comptes en euros, car récipiendaire unique d’une procuration accordée par son défunt père.

Cette affaire fait les gorges chaudes de toute la région de Souama et des alentours. C’était si scandaleux que la brigade de gendarmerie s’est saisie de l’affaire et a établi le bien-fondé des tenants et aboutissants de l’affaire.

Mais contre toute attente, la brigade de gendarmerie n’a préconisé aucune mesure conservatoire contre ces délinquants institutionnels et se réfugie derrière une prétendue prééminence de la justice.

La bonne blague, quand il s’agit d’arrêter les militants souverainistes dans les transports, dans les gares, dans la rue ou même dans les établissements scolaires et universitaires, la gendarmerie ne s’embarrasse d’aucune retenue.

Entre le maire, les gendarmes, le procureur d’Azazga, qui mérite la plus grande punition ?

Pour le moment, c’est une entente cordiale entre tous ces fonctionnaires ripous. La situation est suivie avec grand intérêt par la population qui trouve plus que jamais raison à adhérer massivement au mouvement souverainiste.

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302324 JAN 17

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