BAMAKO (SIWEL) — Alors que la compagne du président français attendait son avion de retour, après sa visite humanitaire de 48 heures au Mali, l’aéroport de Bamako était plongé dans le noir, car des ouvriers avaient volé l’essence du groupe électrogène alimentant l’aéroport.

 

Mali : Valérie Trierweiler s'est faite une peur noire
Les services de sécurité français avaient eu une grosse frayeur, les gardes du corps de la première dame de France s’étaient brusquement déployés, braquant leurs lampes torches dans tous les sens;

Sur le site "malinews.fr", on pouvait lire ce commentaire : « Le Mali a beau être un pays pauvre, il ne devrait pas manquer de 10 litres de carburant pour donner de la lumière à la compagne du libérateur national ! »

wbw
SIWEL 221523 MAI 13

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