UN POUVOIR GÉNOCIDAIRE, SANGUINAIRE QUI CHERCHE SUR QUI ESSUYER SES COUTEAUX …

KABYLIE (SIWEL) — La situation est très alarmante en Kabylie, des ravages qui entoure la terre qui a enfanté Dda Lmulud, Dda Lwennas, Krim, Abban et la liste est longue. Une situation qui ne fait que se prolonger et aller du mal au pire, commençant par la centaine de détenus incarcérés arbitrairement dans les geôles du pouvoir assassin algérien, allant à la crise sanitaire du COVID où un manque imminent de moyens, de places et surtout d’oxygène ont été enregistré dans les hôpitaux de la Kabylie, et quand les kabyles ont décidé de s’unir, mettre la main dans la main pour se prendre en charge, en achetant des concentrateur, des médicaments, du matériels médical et aménagement des hôpitaux, le premier ennemi et habituel obstacle était le pouvoir algérien qui s’est mis face à cette union et solidarité des kabyles qui dérange trop les assassins des 128 martyrs de 2001.

La crise sanitaire n’est pas encore dépassée, au milieu du Covid et manque d’oxygène, des feux dans les quatre coins de la Kabylie ont été enregistrés, et non pas des feux normaux, des géants feux, des gigantesque flammes qui ont ravagées des maisons, des forêts, des vies humaines, des animaux et des villages entièrement. Ces feux qui ont mis à morts plus de 160 martyrs, entre bébés, femmes, enfants vieux, vieilles et des jeunes hommes et jeunes filles à fleurs d’âge, mais toujours dans ces drames, ces tragédies, il y avait ce bourgeon d’espoir, cette lueur de vie et de renaissance en voyant les kabyles qui s’entraident, qui se sont mis en face de ces flammes, même avec le manque de moyens, les kabyles ont réussi à éviter un chiffre plus lourd, grâce à ces héros qui sont morts en martyrs, calcinés dans ces flammes, qui ont causées des blessures grave de 3ème degré à des centaines de Kabyles, des centaines de familles sans abris, sans nourriture…

L’affaire n’est pas encore close, le jeune Djamel ( Qu’il repose en paix) a été tué par les agents de la police coloniale algérienne à l’intérieur du Vito, puis il a été exhibé à cette foules de milliers de personnes venues de partout, tous les projecteurs sont focalisés à ce jeune, comme si c’est tout le monde qui a oublié ces bébés, ces centaines de mères, de jeunes filles et hommes, enfants, vieux et vielles tous morts par ces flammes causées par le régime pyromane algérien sans aucun doute. Ce pouvoir fidèle à ses habitudes de détournement d’opinion, en changeant l’angle de la caméra, en changeant les principales questions à poser concernant ces maudits feux: Qui ? Quand? et Pourquoi ? , toutes les repons mènent seulement à ce pouvoir criminel assassin de Dda Lwennas, Djaout et autres.

Un régime illégitime, qui veut incriminer des innocents, essuyer les couteaux sur le dos sur des jeunes militants pacifique qui n’ont commis aucun crime, leur seul crime est l’amour de la Kabylie.

Nous avons tous vus ce phénomène de Daḥduḥ, cette version a été prise à nouveau, mais cette fois-ci en présentant des militants du MAK, mais sans leur poser la moindre question ni sur les feux, ni sur les martyrs des feux, et la mort du jeune Djamel. Alors que avec tous les autres accusés, les questions basiques portaient sur les feux et le meurtre qui a été commis par complicité de la police algérienne, sûrement orchestré dans les labos du régime terroriste algérien.

La présence des militants du MAK était pour salir le mouvement, le mettre en quarantaine, et le taxer de terrorisme, alors que seulement eux qui sont les terroristes qui font couler le sang des kabyles à chaque occasion.

Vous n’arriverez jamais à manipuler le peuple kabyle, ce peuple est glorieux, conscient, mature et bien expérimenté dans vos jeux de futilités. Le peuple kabyle est maître de son idéologie, un kabyle ne laissera jamais quelqu’un toucher son frère, c’est pour ça que vous, le pouvoir terroriste algérien avez profité ces moments de détresse, où la majorité du peuple Kabyle sont occupés à enterrer leurs frères calcinés dans les feux que vous avez mis lâchement dans notre chère mère Kabylie.

Laissons le temps qui vous jugera, l’union des kabyles triomphera nouveau et vous fera mal plus que jamais.

Notre force est notre pacifisme, notre union et notre solidarité.

SIWEL 181940 AOÛ 21