TEBBOUNE, DAOUD OU L’ALLIANCE IDÉOLOGIQUE ARABO-ISLAMISTE AU SERVICE DES LÉGISLATIVES DANS UN CLIMAT DE TERREUR ÉTATIQUE

KABYLIE (SIWEL)  — À point nommé, à l’approche du scrutin des législatives du 12/06/2021, un remake des législatives de 2012, en somme, comme à l’habitude l’arnaque et la fraude, tout le monde l’aura compris et l’aura vécu, qui mieux qu’un ancien ministre de Bouteflika, en l’occurrence Tebboune désigné « président » par la junte militaire pour perpétuer la tradition de la mascarade électorale, une simple formalité à accomplir pour valider auprès de l’opinion internationale un semblant de vie parlementaire.

La potiche, pauvre hère désarticulée par les casseroles qu’il traîne tout autant que son fils Khaled impliqué dans un réseau de trafic de drogue et marionnette articulée pour l’occasion, a jeté son dévolu sur l’hebdomadaire Français « Le Point » pour se donner une dimension politique internationale, une envergure lestée par ses viols des conventions internationales sur les droits humains, quand son mentor Bouteflika l’a fait avec le journal Le Monde en 2012, avec toutes les conséquences déontologiques. Les sociétaires de ce quotidien ont désavoué cette initiative.

Le magazine Le Point vivra-t-il les mêmes turbulences déontologiques et éthiques ? Avec des pincettes, le magazine Le Point a pris soin de désigner deux journalistes algériens. Était-ce dans le contrat fifty/fifty avec la junte pour interviewer la potiche ou plus amusant sinon machiavélique et surtout manière d’apparaitre neutre en organisant cet entretien pour les algériens, entre algériens, une affaire algéro-algérienne en somme en ces moments de paranoïa simulée où tout ce qui ne vient pas des Tagarins via El-Mouradia, les repaires de la junte militaires arabo-islamiste, est considéré comme un complot ?

Le casting de l’interview est en lui-même grotesque. Des journalistes algériens tenus à carreau interrogent un « président » algérien dans un hebdo de l’ancien colon français qui plus est à Alger. Tout est dit sur la blague qui en dit long sur la mainmise de l’ancien colon sur son ancienne colonie. Une pseudo-souveraineté tenue en laisse reliée au cordon ombilical français.

Rassurée d’être dans l’entre-soi algérien, la marionnette Tebboune se pensait en terrain conquis et en confiance. N’est-ce pas qu’un de « ses » journalistes, Kamel Daoud, profitant de l’hospitalité et de la mansuétude Kabyle a débordé du cadre de sa conférence au salon du livre de Boudjima en Kabylie, a eu l’impertinence, le toupet et surtout l’indélicatesse de profiter de La3naya Kabyle qui lui a été accordée pour s’immiscer dans les questions politiques propres à la Kabylie et se permettre d’en abuser en appelant, toute honte bue, les Kabyles à voter au scrutin législatif d’un Tebboune certainement ravi de cette allégeance ? Autant parler de corde dans la maison d’un pendu.

Le cas Daoud a-t-il mesuré les effets de son incartade et de son inconvenance quand la Kabylie a dit « Ulac L’vot Ulac » (pas de vote) et qu’elle a déjà appelé au boycott de ce scrutin à travers tout le pays Kabyle comme il en fut des précédents scrutins des présidentielles et de la constitution !?.

À tir larigot, le terroriste Tebboune s’est lâché. Il s’est lancé dans des approximations statistiques dans un pays qui n’en connaît aucune et ce dans tous les domaines. À la louche, Tebboune a balancé le chiffre de 10 millions d’algériens (sic) qui auraient voté pour lui sur plus de 24 millions d’électeurs, alors que le fichier électoral national est classé secret défense.

Les observateurs de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne, sous la conduite de José Ignacio Salafranca, dûment invités pour observer les élections législatives de 2012, se sont vus rabrouer comme des malpropres lorsqu’ils ont demandé à consulter ce fichier à ce jour inaccessible à quiconque. Au demeurant aucun candidat aux précédentes mascarades électorales n’a à ce jour osé ou exigé sa consultation et comment (!?) l’important est dans la rente mensuelle et la docilité.

Ce journaliste, racoleur patenté pour la vente de ses livres en pays Kabyle, seul territoire sous occupation algérienne arabo-islamiste à fort taux de lecteurs francophones mais qui commence à s’amenuiser, arabisation forcenée faisant, est retombé dans ses vieux travers idéologiques proche de la mouvance islamiste.

Il a ouvert l’autoroute du silence et plus même, de l’éthique à la marionnette Tebboune représentante de l’idéologie fasciste arabo-islamiste, castratrice des libertés individuelles, des droits humains et surtout de ceux des femmes. Des droits que le cas Daoud fait mine de défendre dans ses éditos et là où il traîne ses guêtres, la gandoura en moins, pour tromper son monde avec des discours qui se veulent modernistes et démocrates quand lui-même associe son image politique à la junte arabo-islamiste. La potiche, elle, s’est délectée de ce partage idéologique.

Avec ce filet de secours, la marionnette s’est permise toutes les acrobaties mensongères qui loin d’égarer et de tromper les lecteurs et les observateurs, a plutôt suscité leur mépris, leur sarcasme et leur dégoût d’une telle proximité.

Ce journaliste n’a-t-il pas trahi les idéaux de respect des droits humains qui, finalement, il ânonne sans les défendre, en recueillant sans brancher les paroles d’un individu qui, au moment où il débitait ses mensonges et ses diffamations contre les Kabyles, avait dans ses geôles des centaines d’innocents, certains dans des cachots tel Sofiane Babaci ?

Si le cas Daoud s’est laissé aspiré par le trou noir de cette junte arabo-islamiste dont il partage l’idéologie arabo-islamiste fasciste et raciste à l’encontre de la Kabylie et des Kabyles et qu’il voit à sa porte porteuse de « démocratie » si délestée de son capital violence, le magazine Le Point peut-il être le complice de la diffamation portée contre le MAK, donc contre la Kabylie, qui aurait tenté des attentats à la voiture piégée ainsi que l’a vomi la potiche Tebboune ?

Soulignons ici que les spécialistes de la voiture piégée sont le Hezbollah sous l’expertise de la république islamique d’Iran qui a transmis ce savoir-faire aux divers groupes terroristes islamistes armés et infiltrés par les services algériens, les protégés de la junte arabo-islamiste algérienne qui dépense chaque année pas moins de 100 millions de dollars pour entretenir fièrement ces nébuleuses terroristes.

Pour rappel les contingents Français et US de la force multinationale déployés en plein guerre civile à Beyrouth ont eu à « déguster » en octobre 1983 le savoir-faire des terroristes islamistes. Exactement 241 GI’s et 58 paras Français tués dans deux attentats simultanés sans oublier les otages Michel Seurat, Marcel Carton, Marcel Fontaine etc…

Le crime, le mensonge tout comme le viol terroriste arabo-islamiste sont des termes qui collent à cette « Algérie » ils sont multiples comme le sont ses crises qui ne sont plus à énumérer.

De la junte arabo-islamiste algérienne, de ses journalistes, de ses  » Zintellos  », de ses mœurs politiques et de ses crimes, tout est connu et ne surprend plus personne, mais quid de l’hebdo Le Point qui s’est frotté à cette bande de brigands et son narco-État voyou, saura-t-il donner la parole aux Kabyles dont l’image a été lésée par le président voyou pour rétablir la vérité ?

La Kabylie ne peut porter l’image terroriste sur plusieurs générations à l’instar de l’Iran, la Syrie, la Libye et l’ « Algérie » etc…Cette « Algérie » terroriste que sa propre jeunesse fuit et que des algériens des plus éclairés renient. 

CLKI – Chroniqueurs Libres de la Kabylie Indépendante
SIWEL 121626 JUI 21