FES (SIWEL) — Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la coordination des associations Amazighes AMYAFA dénonce les intimidations dont sont victimes les militants amazighs au Maroc. Elle fait état de la surveillance et des intimidations exercées à l’encontre du professeur Bouchdoug après sa participation, à Agadir, à une conférence sur la spoliation des terres de la population autochtone de «TADOUART». Le professeur Bouchdoug est un membre actif du mouvement Aamazigh au maroc, il est notamment membre du bureau international et national de L’APMM, Secrétaire général du Congrès Mondial Amazigh et membre de l’association IMAL.

 

Maroc : la coordination des associations Amazighes AMYAFA dénonce les intimidation du Makhzen
La coordination qui se réjouissait du «nouvel air au Maroc, promettant la construction d’une démocratie réelle et favorisant le passage vers plus de justice pour des populations longtemps marginalisées comme celles des montagnes» fait part de sa surprise de constater que «des défenseurs des droits de ces peuples sont soumis à une surveillance accrue de la part des services marocains et même à des intimidations qui vont jusqu’à toucher leurs familles».

La coordination des associations du Maroc central Amyafa fait état de la surveillance de l’un défenseur des peuples des montagnes, en l’occurrence du professeur Bouchdoug, membre du bureau international et national de L’APMM, Secrétaire général du Congrès Mondial Amazigh et membre de l’association Imal, particulièrement depuis sa participation, à Agadir, à la conférence sur la spoliation des terres de la population autochtone de «TADOUART». Amyafa fait également état d’intimidations exercées à l’encontre des membres de la famille de M. Bouchdoug

La coordination dénonce des pratiques qu’elle pensait a révolues et soutien le militant Mohamed Bouchdoug dans son combat pour les droits des peuples autochtones.

zp,
SIWEL 251614 JAN 13

En pièce-jointe le communiqué de la coordination des associations Amazighes AMYAFA

communique_amyafa_23_01_12.pdf Communiqué AMYAFA_23.01.12.pdf

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