LES BARBOUZES CHASSEURS DE PRIMES DU RÉGIME VOYOU ALGÉRIEN

KABYLIE (SIWEL) — Les forces répressives algériennes continuent leur agression et leur harcèlement contre la Kabylie. En effet, elles viennent d’arrêter deux militants pacifiques dignes (Ahcène Chérifi et Ahcène Graïchi) ainsi que le frère aîné du militant du MAK Aksel Belabaci. Leurs familles aussi sont soumises à un harcèlement digne de la gestapo. J’exprime ici tout mon soutien, ma sympathie pour eux ainsi que toute ma colère contre ces voyous algériens, les voyous Tebboune et Chengriha en tête. Ces barbouzes s’achanent sur les militants kabyles car le gouvernement leur donne une prime par tête chassée. Ils n’ont pas cette prime quand ils arrêtent un Algérien. Ceci donne une nature raciste incontestable à ces actes, en plus de leur nature abusive criminelle.Tout finira par se savoir et ce n’est pas avec l’argent et la répression que vous allez arrêter la progression d’un peuple vers sa libération.

Pour le moment, l’État algérien paye ses forces répressives avec l’argent issu de la planche à billet, une politique monétaire suicidaire pou un pays comme l’Algérie, et qui convient plus aux pays productifs et responsables qu’aux pays gérés par des délinquants et des voyous. L’argent issu de la planche à billet finira par aggraver l’inflation qui s’est déjà depuis longtemps, puisque le dinar a été dévalué à plusieurs reprises. Ainsi, l’État algérien a déjà usé et abusé de toutes les stratégies monétaires en cas de crise, comme la dévaluation du dinar et la planche à billet.

Cette situation renferme tous les éléments préalable à la faillite inéluctable de l’État algérien. Il est trop tard à l’État algérien de faire quoi que ce soit pour remonter la pente car les infrastructures industrielles ne sont pas là. Il ne restera alors à l’Algérie que de faire appel au FMI. Ce dernier a un prix bien sûr. Les conditions du FMI sont connus depuis longtemps et en voici quelque-unes1- Réformer le gouvernement dans un premier temps en confiant les portefeuilles à des compétences ;2- Réformer l’État à coup de nouvelles lois plus libérales de nature à instaurer la démocratie et permettre des échanges commerciaux à l’échelle planétaire. Cette condition implique la libération de tous les détenus politiques.

On voit bien, par conséquent, que le régime algérien joue seulement la montre en arrêtant les militants kabyles. Cette fuite en avant, avec une politique de terre brûlée révèle clairement que la fin est proche.

Karim Achab

SIWEL 060724 DEC 2021