» L’Algérie en Kabylie : Le satrape et le tonton-macoute » contribution d’un groupe de patriotes kabyles

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CONTRIBUTION (SIWEL) — Bouaziz Aït Chebib, Muh Boukla Taheccat, Hsen Chérifi, Kamal Chetti… et peut-être beaucoup d’autres victimes silencieuses que la dignité empêche de s’afficher.

Chaque jour, la police algérienne en opérations en Kabylie semble devoir remplir un ordre du jour précis relatif à l’intimidation et au harcèlement de militants du MAK qui sont arrêtés, séquestrés, interrogés puis relâchés.

Ce sadisme aux relents évidents de racisme est pleinement assumé par certains hommes de troupes bien choisis et fait visiblement partie d’une nouvelle dotation de l’arsenal répressif de la police de Tizi Ouzou. Spécialement dédié à la Kabylie.

« Les arabo-baathistes veulent enterrer Aït Ahmed et Ferhat le même jour », une contribution de Farid Attoui

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CONTRIBUTION (SIWEL) — Depuis l’annonce de la mort de Hocine Aït Ahmed, le pouvoir algérien, via sa clientèle et ses barbouzes habituelles, ne cesse de désigner une autre cible à abattre absolument : Ferhat Mehenni. Ils veulent faire du deux-en-un. Tous les relais médiatiques, qu’ils soient du clan Médiene ou de celui des Boutefllika, et leurs agents dormants en Kabylie et ailleurs sont réactivés, l’ordre leur est donné de taper fort et sans discernement sur le leader des patriotes kabyles.

Hocine Ait-Ahmed : Des funérailles populaires malgré la récupération de la « police politique » algérienne

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AT-YEHYA (SIWEL) — C’est une foule immense qui s’est déplacée à At Yehya pour accompagner Hocine Ait-Ahmed à sa dernière demeure, dans son village natal, en Kabylie. Le peuple kabyle a été à la hauteur de l’événement en rendant le plus beau des hommages à l’un des siens.

Malgré les tentatives de récupération du pouvoir colonial algérien avec la complicité de ses relais locaux, l’événement s’est caractérisé par son cachet populaire.

En effet, la foule a chassé tous les officiels algériens. Le cortège des ministres, conduit par le premier ministre algérien, a été attaqué par la jeunesse kabyle qui scandait : pouvoir assassin ! imazighen, imazighen !

Le cortège officiel algérien a été contraint à rebrousser chemin et à quitter les lieux sans pouvoir assister à l’enterrement, comme il l’avait prévu. C’était sans compter sur la détermination du peuple kabyle.