Poutine ne courbe pas l’échine face au Calife d’Istanbul
On(SIWEL) — Hier, lors de son adresse annuelle devant les parlementaires, le gouvernement et les gouverneurs des régions de Russie, Vladimir Poutine a déclaré : « Il ne faut pas attendre de nous une réaction nerveuse, hystérique, dangereuse pour nous et pour le monde entier. Nous n’allons pas brandir les armes ».
Mais, prévient-il « si quelqu’un pense que pour un crime de guerre aussi lâche, le meurtre de nos concitoyens, ils en seront quittes avec des tomates ou des sanctions dans le secteur des travaux publics ou dans d’autres secteurs, ils se trompent lourdement. Ce n’est pas la dernière fois que nous leur rappellerons ce qu’ils ont fait, ni la dernière fois qu’ils vont regretter ce qu’ils ont fait », a-t-il menacé.