Liste de 141 victimes de la répression de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris

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PARIS (SIWEL) — Liste non exhaustive des victimes pour la majorité kabyles de la répression de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris sous les ordres de Maurice Papon, préfet de police.
Cette liste de 73 victimes assassinées et 68 autres disparues a été publiée par l’historien Jean-Luc Einaudi dans son livre « La Bataille de Paris », Ed. Le Seuil. Sans oublier les quelques 13.374 personnes arrêtées les 17 et 18 octobre et internés dans des centres de détention pendant quatre jours en subissant de nombreuses violences.

EXCLUSIF/ Entretien avec Richard Greiner, Coordinateur de la Coalition suisse pour la Cour pénale internationale : « la justice n’est pas totalement exempte de considérations politiques»

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GENEVE (SIWEL) — Dans cet entretien accordé à Siwel, Richard Greiner, membre du Comité de TRIAL et Coordinateur de la CSCPI (fr & all), évoque des questions liées aux crimes contre l’humanité. Il a aussi évoqué le cas du général algérien Khaled Nezzar. Sur une question sur les événements de Kabylie, où 128 jeunes ont été assassinés par les forces gouvernementales algériennes, le juriste à TRIAL a souligné que « D’une manière générale, les autorités de poursuites suisses seraient compétentes pour juger des crimes de guerres dans le cadre d’un conflit armé ou des crimes contre l’humanité dans le cadre d’une attaque systématique contre la population ». Il a donné plus de détails concernant la mission de cette ONG.

Non-reconnaissance du GPK par le pouvoir socialiste français : « Pour la France, tous les peuples ont le droit à un Etat sauf les Berbères ! »

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PARIS (SIWEL) — Suite à l’interpellation du gouvernement français par la députée UMP des Bouches-du-Rhône, Mme Valérie Boyer, sur la question kabyle, le Gouvernement provisoire kabyle en exil (GPK) estime que « la réponse du Gouvernement socialiste choque la Kabylie ».

Dette algérienne auprès des hôpitaux français : l’ardoise est de 20 millions d’euros

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PARIS (SIWEL) —« Premier débiteur, l’Algérie accuse une dette d’environ 20 millions d’euros. Viennent ensuite le Maroc (plus de 10 millions d’euros) et les pays du Golfe (10 millions d’euros), la Tunisie (environ un million d’euros) ». C’est ce qu’a révélé aujourd’hui, 15 octobre, le journal français Le journal du dimanche (JDD).