ALGER (SIWEL) — Selon un article publié hier dans le quotidien algérien El Watan, ce n’est pas moins de « 16 200 familles de terroristes abattus par les services de sécurité » qui ont reçu entre de 1,4 million à 1,7 million de dinars d’indemnisations dans le cadre du « Fonds de solidarité nationale » dédié aux « victimes de terrorisme » durant la « tragédie nationale ». La « charte pour la paix et la réconciliation nationale » a été faite sur mesure pour les terroristes et leurs familles. Les victimes et les familles des victimes, celles qui ont survécus comme celles qui n’ont pas survécu, ainsi que les patriotes qui ont assuré la sécurité de leurs concitoyens mis en danger par la folie meurtrière des terroristes et de ceux qui les ont engendrés, ne sont pas des victimes de la « tragédie nationale », ils ne sont que « les dommages collatéraux » d’une politique mise en en place dès 1962 et qui, depuis, ne cesse de se « sophistiquer »